Pardon mais… il y a un moment où les excuses ne suffisent plus. Je pense au petit préfet à grande casquette qui a pointé sur un ton péremptoire la « corrélation évidente » entre les malades atteints du virus et les personnes…
Pardon mais… il y a un moment où les excuses ne suffisent plus. Je pense au petit préfet à grande casquette qui a pointé sur un ton péremptoire la « corrélation évidente » entre les malades atteints du virus et les personnes…