L’ami et grand poète tunisien Tahar Bekri a trouvé d’émouvants mots à mettre sur l’épreuve que nous traversons. Je ne vous mets que les premiers vers de son magnifique poème (intitulé dans un joli clin d’oeil « L’amour au temps du Corona »):
Avons-nous assez aimé
L’oiseau frêle sur la branche
Le frémissement des feuillages dans l’arbre
Le petit vent remuant les fleurs du prunus
Ta main par-dessus mon épaule
Nous cherchions le soleil prisonnier de l’ombre
Consolés par les vagues qui revenaient de loin
…
Sans doute fallait-il la puissance de la poésie pour se mesurer à un cataclysme de cette envergure. Le reste du poème est à découvrir ici…
Copyright présentation Khaled Osman (avril 2020)