Bon, résumons ce que nous savons de « l’imposteur », le traducteur en langage des signes aux funérailles de Mandela:
– il entendait des voix qui parasitaient le texte-source et l’empêchaient de se concentrer;
– il était conscient de livrer une traduction incompréhensible, mais trop tard, le mal était fait ;
– il aurait voulu quitter la scène, mais se sentait comme paralysé.
Pas de doute: ce type est vraiment un traducteur…
Copyright Khaled Osman (décembre 2013)