Donc l’infâme Richard Millet, qu’on croyait cloîtré dans une cave, le corps badigeonné de goudron et de plumes, depuis son immonde apologie d’Andreas Breivik, non content de se voir confier les rênes d’une revue littéraire, utilise cette tribune pour taper sur JMG Le Clézio (qu’il appelle «El Clezio», marrant, non?) et sur Maylis de Kerangal (qu’il appelle «Babyliss de Kerangal», marrant, non?).
Copyright Khaled Osman (janvier 2016)